Ça suffit, y en a marre, ça peut plus durer, c'est intolérable, c'est lamentable,
Y faut que ça cesse
Il faut faire quelque chose.
Y faut que ça cesse
Il faut faire quelque chose.
Démissionner est souvent la solution adoptée en restauration rapide, parce que l'attachement au job en lui même est nul (trouvez moi quelqu'un qui regrette de placer des steaks sur grill, ou encore de nettoyer la broyeuse) et qu'étant jeune, on peut avoir plus de mobilité niveau travail, ou on n'a moins de peur de plus pouvoir nourrir ses enfants (vu qu'on en a pas, pour la plupart).
Dans ce cas là, comme dans toute crise il faut pouvoir trouver un moyen de remédier à cette situation désagréable de mauvaise condition de travail.
Globalement, vos chères entreprises vous proposeront de discuter avec vos chefs de vos problèmes. Y a ce qu'on appelle la fameuse rap session, cette sympathique réunion avec votre souriant responsable de marché.
Oui, mais voilà, prévenir les managers ou la haute hiérarchie que vous vous êtes électrocuté, que vous crevez de soif ou que sais je encore, ça peut ne rien donner. On peut même vous envoyer valser, vous critiquez encore plus, voire vous harceler parce que vous osez ouvrir votre bouche ( alors que vous n'êtes que des petits équipiers, autant dire des pions qui rentrent dans le jeu, ou qui dégagent).
Quand on a pu constater un fort problème de communication, et bien il y a une solution tout a fait légale et particulièrement conseillée, dont la majorité des entreprises sont habituellement dotés, mais que bizarrement la restauration rapide n'a jamais vraiment aimé :
Un petit rappel historique :
Par chance, on est en 2009... Mais est-ce que le temps a porté ces fruits concernant les élémentaires droits du salarié ?
j'ai tenté l'expérience avec le manager masqué et quelques autres équipiers ET managers, l'histoire a été contée ici :
1. Introduction
2. les premiers fruits de la révolte
3. la rap session fatale
4. l'entretien mystère
5. l'enquête
6. Il est parti...
Mais, le manager masqué et moi tenions à rapporter les enseignements de cette expérience particulièrement houleuse, mais nécessaire et utile, à ceux qui serait tentés de suivre un même chemin.
Dans un premier temps :
Donc, on ne parle pas publiquement de l'idée de faire un syndicat, et si on doit en parler à quelqu'un, il faut que cette personne soit sûre, qu'elle n'aille pas piper un mot au premier de ses potes qui le dira à un autre de ses potes qui le dira a son manager pote, au manager qui dira au directeur...
Pourquoi ? Pourquoi ne pas mettre au courant la première intéressée de cette future affaire, l'entreprise ?
Les fast foods n'aiment pas les syndicats. Ils n'aiment pas ça du tout. Le harcèlement pourrait se mettre en œuvre avant même que vous ayez fait quoi que ce soit. Comment ? en vous stressant un maximum par tout les moyens possibles pour que vous craquiez.
- On prend la convention collective, mais attention elle est normalement en accès libre dans le resto, mais si vous la demandez à un responsable, ça va être source de problème, on va vous suspectez de quelque chose, même si vous êtes dans votre entier droit. Donc la soluce, c'est de la chopper sur internet, ou au sein du syndicat. Là, je vais me renseigner voir si j'ai le droit de la publier sur le blog.
-Les anciens qui sont partis fâchés, on les contacte, on prend leur témoignage écrit ( voir plus bas, pour l'exemple de témoignage)
- On prend des photos (en toute discrétion) des problèmes que ce soit des affichages malsains (des remarques personnelles affichées en public dans la salle de pause par exemple) comme des problèmes matériels irrésolus depuis des mois.
- On discute, et on retient toutes les plaintes possibles concernant le travail, et petit à petit, on essaye de voir si les collègues seraient enclins à rejoindre une action commune pour régler les problèmes. C’est une phase très délicate.
Car si beaucoup se plaignent, l'action est une autre chose.
Diplomatie, ou savoir bien s'exprimer, bien expliquer tout clairement à ceux qui seront d'accord de faire un tour au syndicat pour une contre-rap-session.
Vous pourrez à ce stade-là recueillir leurs témoignages (qui seront bien gardé ,à l'abri, hors de l'entreprise), dont voici un exemple type :
Pourquoi recueillir des témoignages ? Pour monter un dossier de preuves, qui contiendra des photos et des documents officiels (genre des lettres de convocations, des communications, des certificats de médecins pour dépression à cause du travail, etc.) et que vous pourrez utiliser avec l'inspection du travail, voire l'inspection sanitaire, ou encore devant le juge...
Je note tout ça, ça peut paraître un travail impressionnant, mais n'oubliez pas qu'entre temps vous avez été voir un syndicat ou l'on vous épaulera grandement, sur toutes les questions de droit, mais aussi des questions pratiques. Et si la situation est urgente (licenciement par exemple) un syndicaliste vous accompagnera lors des convocations.
Y a une fuite !!!
Ça y est, tout le resto' sait qu'il y a un groupe voulant mener des actions, voire monter un syndicat. Va y avoir une recherche du responsable et de ceux qui comptent y participer. Toutes les techniques sont bonnes pour la direction et ces suivants, de la banale discussion en pause ou vous risquez de déraper et d'en dire trop, à harcèlement si vous êtes démasqué. Par exemple, chez nous, ça a été l'entretien individuel avec le responsable de marché. Tous les employés qu'il pouvait voir on était interrogé de façon "subtile".
Il faut tenir bon, ne pas se laisser abattre à la première attaque.
Il va falloir du sang froid, surtout quand on vous attaquera de face et par des techniques relativement vicieuses : la manipulation ; les faux entretiens, etc.
Vous comprenez alors que la motivation est essentielle, mais également la notion d'équipe. il faut pouvoir vous soutenir mutuellement et que toute la responsabilité du syndicat ne tienne pas que sur vos uniques épaules, la charge est trop lourde et c'est plus facile de faire renoncer une personne qu'un groupe.
"diviser pour mieux régner" Une petite phrase a ne jamais oublier, car c'est la stratégie que votre restaurant sera amené à employer. La division c'est l'ennemi absolu des mouvements, quel qu'ils soient ( je vois ça à la fac, avec le face à face pro-blocus et anti-blocus, c'est source de ralentissement, de conflits, et du coup tout s'envenime, et pire encore, les étudiants sont pris pour des cons incapables de se mettre d'accord)
Mon discours vous paraît paranoïaque ? Il l'est en effet, mais c'est malheureusement nécessaire comme en témoigne ce que j'ai pu voir, ce que j'ai pu vivre sur le terrain.
Mais je vais conclure sur une note positive.
Rien que le passage de l'inspection du travail a réussit à résoudre ces problèmes : l'armoire à pharmacie, vide, s'est remplie. La climatisation a été réparée, on nous a plus interdit de boire de l'eau...
Et si vous arrivez a monter un syndicat, vous pourrez être fier, ça revient presque à monter une démocratie , d'installer un contre-pouvoir, et cela sera utile a beaucoup, beaucoup d'employés futurs !
Et non, ce n'est pas être naïf que de tenter de changer une mauvaise situation, au contraire c'est dans l'ordre d'un mouvement, de l'action, c'est prendre en main sa vie, c'est avoir le courage d'affronter, de lutter, et si possible de laisser derrière soi autre chose qu'un brouillard sans espoir. Bien sûr, c'est pas le chemin de la facilité, mais je ne pense pas que la facilité soit la meilleure des routes dans notre société actuelle...
Commentaires
Et puis, y en a d'autres qui ne peuvent pas partir comme ça, ou encore veulent rester là.
Dans ce cas là, comme dans toute crise il faut pouvoir trouver un moyen de remédier à cette situation désagréable de mauvaise condition de travail.
Comment améliorer la situation ?
Globalement, vos chères entreprises vous proposeront de discuter avec vos chefs de vos problèmes. Y a ce qu'on appelle la fameuse rap session, cette sympathique réunion avec votre souriant responsable de marché.
Oui, mais voilà, prévenir les managers ou la haute hiérarchie que vous vous êtes électrocuté, que vous crevez de soif ou que sais je encore, ça peut ne rien donner. On peut même vous envoyer valser, vous critiquez encore plus, voire vous harceler parce que vous osez ouvrir votre bouche ( alors que vous n'êtes que des petits équipiers, autant dire des pions qui rentrent dans le jeu, ou qui dégagent).
Quand on a pu constater un fort problème de communication, et bien il y a une solution tout a fait légale et particulièrement conseillée, dont la majorité des entreprises sont habituellement dotés, mais que bizarrement la restauration rapide n'a jamais vraiment aimé :
Les syndicats
Un petit rappel historique :
« les années 70 au Mcdo, c’est aussi ça : il y eut près de 400 tentatives d’organisation syndicale dans divers restaurants McDonald’s. McDonald’s engagea comme chef du personnel John Cook, dont la contribution essentielle fut de monter une « flying squad » (escouade volante) de managers McDo expérimentés, équipe « musclée » prête à faire une descente dans tout restaurant où se profilait le risque d’une organisation syndicale. Grâce à l’efficacité de cette stratégie antisyndicale, la vaste majorité des tentatives restèrent vaines, et de nos jours les syndicats sont presque entièrement absents de l’empire franchisé McDonald’s. »
Par chance, on est en 2009... Mais est-ce que le temps a porté ces fruits concernant les élémentaires droits du salarié ?
j'ai tenté l'expérience avec le manager masqué et quelques autres équipiers ET managers, l'histoire a été contée ici :
1. Introduction
2. les premiers fruits de la révolte
3. la rap session fatale
4. l'entretien mystère
5. l'enquête
6. Il est parti...
Mais, le manager masqué et moi tenions à rapporter les enseignements de cette expérience particulièrement houleuse, mais nécessaire et utile, à ceux qui serait tentés de suivre un même chemin.
Dans un premier temps :
DU SECRET DU SECRET DU SECRET
Je ne sais pas si c'est ainsi dans tous les fast foods, mais dans mon restaurant quand il était dit quelque chose, un rush plus tard, tous étaient au courant, de la plus petite des rumeurs à la plus énorme.Donc, on ne parle pas publiquement de l'idée de faire un syndicat, et si on doit en parler à quelqu'un, il faut que cette personne soit sûre, qu'elle n'aille pas piper un mot au premier de ses potes qui le dira à un autre de ses potes qui le dira a son manager pote, au manager qui dira au directeur...
Pourquoi ? Pourquoi ne pas mettre au courant la première intéressée de cette future affaire, l'entreprise ?
Les fast foods n'aiment pas les syndicats. Ils n'aiment pas ça du tout. Le harcèlement pourrait se mettre en œuvre avant même que vous ayez fait quoi que ce soit. Comment ? en vous stressant un maximum par tout les moyens possibles pour que vous craquiez.
DE l'ORGANISATION
- On liste tous les problèmes par ordre de gravité, on n'oublie rien.- On prend la convention collective, mais attention elle est normalement en accès libre dans le resto, mais si vous la demandez à un responsable, ça va être source de problème, on va vous suspectez de quelque chose, même si vous êtes dans votre entier droit. Donc la soluce, c'est de la chopper sur internet, ou au sein du syndicat. Là, je vais me renseigner voir si j'ai le droit de la publier sur le blog.
-Les anciens qui sont partis fâchés, on les contacte, on prend leur témoignage écrit ( voir plus bas, pour l'exemple de témoignage)
- On prend des photos (en toute discrétion) des problèmes que ce soit des affichages malsains (des remarques personnelles affichées en public dans la salle de pause par exemple) comme des problèmes matériels irrésolus depuis des mois.
- On discute, et on retient toutes les plaintes possibles concernant le travail, et petit à petit, on essaye de voir si les collègues seraient enclins à rejoindre une action commune pour régler les problèmes. C’est une phase très délicate.
Car si beaucoup se plaignent, l'action est une autre chose.
De la diplomatie, du tact, de la prudence
Prudence toujours, car un collègue enclin à faire une action peut être plus enclin à avoir une promotion, vous pouvez devenir un bon moyen, pardonnez-moi l'expression, de sucez le chef. Ou permettre au futur "traitre" de faire le bon toutou qui rapporte toutes les infos au patron. Une seule de ces personnes peut nuire à tous ceux engagés dans le mouvement, et même a ceux qui sont totalement neutre.Diplomatie, ou savoir bien s'exprimer, bien expliquer tout clairement à ceux qui seront d'accord de faire un tour au syndicat pour une contre-rap-session.
Vous pourrez à ce stade-là recueillir leurs témoignages (qui seront bien gardé ,à l'abri, hors de l'entreprise), dont voici un exemple type :
"Nom" "Prénom du témoin"
"Adresse du témoin"
« statut professionnel » à "nom du restaurant"
"Adresse du témoin"
« statut professionnel » à "nom du restaurant"
Lors de la fermeture du "date", je nettoyais la façade d'un grill, lorsqu'un de mes collègues équipier m'informa que le manager nous avait dépointés sans notre autorisation et sans nous prévenir.
"Nom" "prénom ", À "ville", le "date"
Pourquoi recueillir des témoignages ? Pour monter un dossier de preuves, qui contiendra des photos et des documents officiels (genre des lettres de convocations, des communications, des certificats de médecins pour dépression à cause du travail, etc.) et que vous pourrez utiliser avec l'inspection du travail, voire l'inspection sanitaire, ou encore devant le juge...
Je note tout ça, ça peut paraître un travail impressionnant, mais n'oubliez pas qu'entre temps vous avez été voir un syndicat ou l'on vous épaulera grandement, sur toutes les questions de droit, mais aussi des questions pratiques. Et si la situation est urgente (licenciement par exemple) un syndicaliste vous accompagnera lors des convocations.
Y a une fuite !!!
Ça y est, tout le resto' sait qu'il y a un groupe voulant mener des actions, voire monter un syndicat. Va y avoir une recherche du responsable et de ceux qui comptent y participer. Toutes les techniques sont bonnes pour la direction et ces suivants, de la banale discussion en pause ou vous risquez de déraper et d'en dire trop, à harcèlement si vous êtes démasqué. Par exemple, chez nous, ça a été l'entretien individuel avec le responsable de marché. Tous les employés qu'il pouvait voir on était interrogé de façon "subtile".
Il faut tenir bon, ne pas se laisser abattre à la première attaque.
Il va falloir du sang froid, surtout quand on vous attaquera de face et par des techniques relativement vicieuses : la manipulation ; les faux entretiens, etc.
Vous comprenez alors que la motivation est essentielle, mais également la notion d'équipe. il faut pouvoir vous soutenir mutuellement et que toute la responsabilité du syndicat ne tienne pas que sur vos uniques épaules, la charge est trop lourde et c'est plus facile de faire renoncer une personne qu'un groupe.
"diviser pour mieux régner" Une petite phrase a ne jamais oublier, car c'est la stratégie que votre restaurant sera amené à employer. La division c'est l'ennemi absolu des mouvements, quel qu'ils soient ( je vois ça à la fac, avec le face à face pro-blocus et anti-blocus, c'est source de ralentissement, de conflits, et du coup tout s'envenime, et pire encore, les étudiants sont pris pour des cons incapables de se mettre d'accord)
Mon discours vous paraît paranoïaque ? Il l'est en effet, mais c'est malheureusement nécessaire comme en témoigne ce que j'ai pu voir, ce que j'ai pu vivre sur le terrain.
Mais je vais conclure sur une note positive.
Rien que le passage de l'inspection du travail a réussit à résoudre ces problèmes : l'armoire à pharmacie, vide, s'est remplie. La climatisation a été réparée, on nous a plus interdit de boire de l'eau...
Et si vous arrivez a monter un syndicat, vous pourrez être fier, ça revient presque à monter une démocratie , d'installer un contre-pouvoir, et cela sera utile a beaucoup, beaucoup d'employés futurs !
hummm la voix des cyniques... C'est exactement en suivant leur désespoir qu'on avance a rien, que rien ne change et que tout le monde se plaint. À les entendre, il faudrait s'écraser devant tous les problèmes et subir. Avec une mentalité comme celle là, on stagne, et pire on en vient à la dépression, on perd sa fierté, sa dignité et pire encore dans certaines situations.Ça ne sert à rien, de toute façon rien ne changera...C'est perdu d'avance...
Et non, ce n'est pas être naïf que de tenter de changer une mauvaise situation, au contraire c'est dans l'ordre d'un mouvement, de l'action, c'est prendre en main sa vie, c'est avoir le courage d'affronter, de lutter, et si possible de laisser derrière soi autre chose qu'un brouillard sans espoir. Bien sûr, c'est pas le chemin de la facilité, mais je ne pense pas que la facilité soit la meilleure des routes dans notre société actuelle...
Commentaires
Je faisais une recherche concernant la restauration rapide, dans l'idée de trouver un éventuel blog ou article de journal qui circulerait sur internet... je tombe sur vous. C'est assez marrant de s'aperçevoir que les moyens de pressions mis en place par les responsables sont les mêmes que l'on soit à Paris, à Limoges ou encore à Bordeaux..ect
J'ai de nombreuses expérience là-dedans, j'ai bossé pour différentes enseignes, mc do (2), quick, mezzo et le dernier en date une sorte de pizzeria/fast food qui n'est pas mal non plus dans son genre. Heureusement j'ai un autre travail, qui est génial, et qui m'a doublement fait prendre conscience du réel problème qui subsiste au sein de ce milieu ou techniquement tout est en ordre (contrats de travail, paiement, hygiène...) mais qui
possède une façon plus qu'incidieuse de déstabiliser, culpabiliser et déshumaniser (c'est le point le plus fort) l'enployé polyvalent.
Je souhaite écrire un article, mais auparavant et pour que l'article soit poignant et puisse avoir une répercution, je souhaite me lancer dans une grosse enquête, je veux recueillir beaucoup de témoignages, faire le tri sur ce qui est fiable et ce qui ne l'est pas, mes expériences de travail se sont déroulés à Paris, notamment aux Champs-Elysées et dans deux autres villes de province, c'est pourquoi je commence à me faire une idée de plus en plus précise de ce qui se passe globalement, ce qui diffère d'un milieu à un autre...
... C'est pourquoi je lance en quelque sorte une invitation à rentrer en contact, si vous êtes intéressé laisse des commentaires sur le site pour que nous puissions communiquer.
J'ai de nombreuses expérience là-dedans, j'ai bossé pour différentes enseignes, mc do (2), quick, mezzo et le dernier en date une sorte de pizzeria/fast food qui n'est pas mal non plus dans son genre. Heureusement j'ai un autre travail, qui est génial, et qui m'a doublement fait prendre conscience du réel problème qui subsiste au sein de ce milieu ou techniquement tout est en ordre (contrats de travail, paiement, hygiène...) mais qui
possède une façon plus qu'incidieuse de déstabiliser, culpabiliser et déshumaniser (c'est le point le plus fort) l'enployé polyvalent.
Je souhaite écrire un article, mais auparavant et pour que l'article soit poignant et puisse avoir une répercution, je souhaite me lancer dans une grosse enquête, je veux recueillir beaucoup de témoignages, faire le tri sur ce qui est fiable et ce qui ne l'est pas, mes expériences de travail se sont déroulés à Paris, notamment aux Champs-Elysées et dans deux autres villes de province, c'est pourquoi je commence à me faire une idée de plus en plus précise de ce qui se passe globalement, ce qui diffère d'un milieu à un autre...
... C'est pourquoi je lance en quelque sorte une invitation à rentrer en contact, si vous êtes intéressé laisse des commentaires sur le site pour que nous puissions communiquer.
Les témoignages, ce n'est pas ce qui manque malheureusement, j'en ai eu des dizaines et des dizaines, dont j'ai été témoin moi même.. J'ai même encore des preuves de ce que j'avance sur le blog.
Quand tu parles du site ( désolé pour le tutoiement, mais c'est une vieille habitude ici), tu parles de ce présent blog, ou d'un site à toi ?
Concernant ton futur article, il serait sur internet ou un autre support ?
Pour t'aider dans ta recherche, je te conseille de rester dans cette rubrique, tout ce dont je parle au sujet de mon ex-restaurant est absolument véridique, notamment sur l'attitude particuliérement vicieuse et manipulatrice de mon ex-patron, et bien sûr je n'ai pas été la seule à le constater. N'hésite pas a me poser des questions si tu veux en savoir plus sur certains faits ( dans une certaine limite : je préserve l'anonymat des personnes citées).
Quand tu parles du site ( désolé pour le tutoiement, mais c'est une vieille habitude ici), tu parles de ce présent blog, ou d'un site à toi ?
Concernant ton futur article, il serait sur internet ou un autre support ?
Pour t'aider dans ta recherche, je te conseille de rester dans cette rubrique, tout ce dont je parle au sujet de mon ex-restaurant est absolument véridique, notamment sur l'attitude particuliérement vicieuse et manipulatrice de mon ex-patron, et bien sûr je n'ai pas été la seule à le constater. N'hésite pas a me poser des questions si tu veux en savoir plus sur certains faits ( dans une certaine limite : je préserve l'anonymat des personnes citées).
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