Le contexte :
Un équipier depuis un certain temps, demande à changer ses disponibilités. Ces changements sont justifiés, car il a subi de graves problèmes de santé du au stress et il est également étudiant avec un gros emploi du temps. Il veut faire moins de closes ou fermeture selon votre vocabulaire, car cela nuit à sa santé et ses études.
Il envoie de multiples demandes par courrier. Celles-ci n’obtiennent aucune réponse.
Il va donc à la rencontre de son directeur un jour où il ne travaille pas.
L’entrevue se passe mal, très mal. Au point où le directeur lui dise de dégager de façon pas franchement agréable. L’équipier s’énerve également, au vu de la brutalité des propos de son supérieur.
Le grand grand directeur le prend en entretien sauvage et tente de retourner la situation en accusant l’équipier de son comportement.
Et vient l’entretien avant sanction alors que le grand grand directeur a promis qu’il s’agirait de voir le souci avec ses horaires…
On voit déjà poindre la stratégie de la hiérarchie.
La demande de l’équipier était simple, personne n’a voulu y répondre, ça a mal tourné à cause l’agressivité du directeur. Maintenant que l’équipier a osé persister à faire entendre une demande justifiée, on va lui reprocher ce comportement qui n’est juste que le résultat de l’incompétence de la communication de ce McQ.
Nous connaissons bien le comportement de ce grand grand directeur, je l’explicite quand je parle de la manipulation mentale et à travers les guides de survie.
Cet entretien, il n’avait que pour but de fermer la gueule de cet équipier qui commençait à remettre en cause le bon suivi des lois par l’entreprise. Et le McQ déteste quand on commence à parler médecine du travail et inspection, car ils aiment régner en maître sans qu’aucune instance ne vienne à contester leurs modes de travail.
Or, quand il s’agit de santé, la médecine prévaut.
L’objectif de cet entretien, pour nous, était simple : contrer le retournement de situation que McQ allait vouloir imposer, c'est-à-dire rendre l’équipier fautif, lui faire peur et qu’il ne demande plus rien et qu’il la ferme une bonne fois pour toutes.
Wouaaaaa les paraaanooooooo, mcQ est pas si vicelard….
Malheureusement si, l’entretien nous l’a prouvé. Ce que nous avions soupçonné, prévu, s’est réalisé, presque au mot prêt.La suite > ici <
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