suite de : le coût du sale con en entreprise
On continue avec « Les facteurs à prendre en compte pour calculer le cout total des sales cons dans votre entreprise » toujours inspiré du livre « objectif zéro sale con » de Robert Sutton ;
Et on passe aux conséquences pour les sales cons eux-mêmes :
- Les Victimes et témoins hésitent à les aider, à coopérer avec eux ou à leur apprendre de mauvaises nouvelles.
Pourquoi c’est mauvais pour l’entreprise :
Une bonne communication entre les pions permet un travail efficace, voire de qualité, et rapide. Si un pion répugne à s’adresser à un sale con, la communication est mauvaise et donc il manque des pas dans la danse, et un travail mauvais = perte d’argent.
- Représailles de la part des victimes et des témoins
Sale con, tu peux te faire voler tes affaires, te faire agresser dans la rue. C’est pas super agréable, hein ?
Entreprise, ton employé vengeur, pirateras la façon de travailler en présence du sale con. Il fera donc n’importe quoi susceptible de foutre en l’air tes belles manœuvres organisées pour faire du pognon. Lenteur, sabotages, vols, etc.…
La haine engendre la haine...
- Impossibilité de réaliser tout son potentiel dans l’entreprise
Hé oui, sale con, tu resteras à une place définie ou ton cassage d’employés peut être considéré comme utile (même si ça aussi, c’est complètement con).
- Perte d’emploi
Si l’entreprise à quelconque intelligence et se rends compte des capitaux perdus par ta faute, elle dégagera le sale con (ce qui est très profitable à tout le monde, d’ailleurs).
- Impact négatif durable sur la carrière
Habitué à être valorisé comme un sale con, le con, bien conditionné, poursuivras dans cette optique. Et dans des bons jobs, des bonnes entreprises, ça passe pas.
On peut supposer qu’il se fera détester tout le temps, par tout le monde, en tout lieux. Je vois pas en quoi ça peut être une bonne vie, ça. Mais le sale con a une défense : les autres sont jaloux de lui, voilà l’origine de ces attaques.
Franchement, faut être tout aussi con que le sale con pour croire à ces âneries : Qui rêverait d’être détesté tout sa vie ? Tout le monde aime être aimé, un minimum au moins.
La suite : Le coût du sale con, dernier épisode
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